Quand j’ai rencontré Géraldine, j’étais la tête sous l’eau, ou plutôt sous la couette, envie de rien ou plutôt envie d’arrêter définitivement mon existence. Impossible pour moi d’accepter qu’il était parti avec cette autre après tant d’années de vie commune… Et tout ça sans aucun coup de semonce, du jour au lendemain… Je n’ai rien vu, rien compris, rien anticipé…
Avant notre rencontre j’avais juste envie de crier, de hurler, envie de tout lâcher.
J’ai trouvé avec Géraldine un endroit ou déposer ma colère, mon sentiment d’injustice, mon chagrin… j’ai été accueillie avec bienveillance et ai bénéficié d’une grande qualité d’écoute, d’une vraie empathie, un sentiment de pouvoir exister malgré mes difficultés… j’ai appris à lâcher mes pensées négatives, à détendre mon corps, j’ai appris à me retrouver.
Géraldine m’a permis de trouver la force de vouloir vivre encore, l’envie de me reconstruire et de pouvoir avancer… J’ai fini par une séance sur son grand cheval noir…Symbole pour moi que désormais tout est possible 🙂
Pour tout cela vraiment merci : j’ai envie de dire, ne restez pas seule, impossible de dépasser tout cela sans être bien accompagnée.
Christelle
41 ans
Je suis allé voir Géraldine pour qu’elle m’aide à passer une période de dépression due un surmenage au boulot et un portage familial plus gros que mes épaules.
Très vite dans nos séances, j’ai compris que le deuil de mon meilleur ami Jean Marcel n’était toujours pas fait : 22 ans après je n’acceptais toujours pas son suicide. J’avais presque honte aussi d’avoir su cheminer dans le deuil plus rapidement pour des personnes de mon entourage : parents, amis, auxquels je tenais aussi énormément, mais qui étaient partis plus « naturellement », avec qui j’avais pu faire un adieu, une mort que j’avais pu accepter et accompagner.
L’écoute, la bien vaillance, la générosité et l’humour de Géraldine, les séances de respiration de relaxation font que de séance en séance, mon cerveau s’est apaisé, mes pensées se sont ordonnées, mon esprit s’est ouvert à d’autres horizons.
En pleine période de changement de vie je n’aurais pas passé ce cap sans l’aide de Géraldine et de la munificence de ses chevaux.
Alors pour tout cela merci!
Christophe André
57 ans
Lorsque j’ai rencontré Géraldine, je venais de perdre mon mari d’un cancer. Après 3 années de soin, de doute, de peur, de souffrance et une maladie irrémédiablement dévastatrice, il est décédé à la suite de 15 jours passés dans un service de réanimation.
A son départ, j’avais acquis la certitude qu’il me fallait parler pour évacuer. M’alléger par les mots et dire ce que je vivais. Ce par quoi je passais factuellement et émotionnellement.
Et j’ai eu cette grande et merveilleuse chance de pouvoir le faire auprès de Géraldine. Elle m’a accueillie par un : « racontez-moi ! » qui m’a tout de suite fait ressentir un réel et sincère intérêt à ce que je vivais et portais. Un réel intérêt pour moi, pour mon « histoire ».
Durant notre échange j’ai ressenti fortement son empathie, son écoute professionnelle et pour autant très amicale, comme si nous nous connaissions auparavant. Une atmosphère totalement propice au lâcher-prise et en même temps un réel soutien. Elle m’a aidée à comprendre, à mieux y voir à travers le trouble qui montait. A ne pas me sentir seule face à ce gouffre abyssal dont il est impossible de sortir sans avoir des « accompagnants » dont nous devenons le « centre d’intérêt ». Et je me suis sentie devenir le centre d’intérêt de Géraldine.
Quoi de plus fort que d’être pris au sérieux ? De ne pas se retrouver isolée (parce que les amis n’ont pas toujours le temps, la place, l’énergie ou parfois ils ont même peur de la souffrance des autres). Par nos échanges réguliers j’ai progressé dans mon cheminement, dans cette nouvelle vie que j’étais contrainte d’accepter.
Je veux donc remercier chaleureusement Géraldine pour son don de soi, son implication, sa formidable empathie naturelle, sa positivité, sa sincérité et les outils qu’elle propose et par lesquels elle a su me procurer un mieux être, une perspective d’avenir, une certitude d’être… « vivante » oserais-je dire et… debout !